Les inscriptions pour les stages proposés durant les congés de Carnaval (du 24 février au 7 mars) se poursuivent UNIQUEMENT par téléphone au 056/34.20.44.
Pour accéder au programme proposé à la ferme urbaine de Dottignies, cliquez-ici…

La Prairie est une ferme d'animation
Les inscriptions pour les stages proposés durant les congés de Carnaval (du 24 février au 7 mars) se poursuivent UNIQUEMENT par téléphone au 056/34.20.44.
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La Prairie – Ferme Urbaine de Dottignies – est à la recherche de nouveaux bénévoles motivés pour soutenir l’équipe de l’École des Devoirs (EDD) et encadrer des enfants de 6 à 12 ans après la sortie des cours.
Tous les jours de la semaine, l’équipe de La Prairie Dottignies accueille des enfants et des jeunes à la sortie de l’école. L’objectif est de leur offrir un encadrement, de les soutenir dans leurs différents apprentissages (scolaire, social, citoyen et culturel) et de les accompagner dans la tâche parfois ardue que sont les devoirs !
Mais à l’École des Devoirs, on ne reste pas seulement assis derrière sa table. L’équipe d’animation propose aussi des moments d’accueil et d’échange dans une ambiance conviviale, un goûter, des ateliers à la découverte de la nature et des animaux de la ferme, des ateliers créatifs, des jeux…
Toute personne qui aimerait consacrer une partie de son temps en soutenant des enfants dans leur parcours scolaire et citoyen est la bienvenue. Du lundi au vendredi, le bénévole s’engage pour les jours qu’il souhaite, selon ses disponibilités !
En plus de fournir une aide aux devoirs, les bénévoles peuvent également organiser des activités ludiques pour les enfants. Les bénévoles répondent aux questions des parents et participent aux réunions.
Contactez Magali De Temmerman au +32 (0) 56/48 59 39 ou à prairiedot@skynet.be
N’hésitez pas à partager l’info autour de vous ! Merci !
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Voilà le formulaire pour les inscriptions aux ateliers de ce mercredi 19 février.
>> Formulaire mercredi 19 février, cliquez-ici <<
Les enfants seront accueillis de 14h à 17h. L’animation se ponctue par un goûter. Le prix est de 6€ à régler en espèces le jour de l’animation.
Les activités concernent les 6-12 ans (dès la 1ère primaire – CP) .
Pour valider l’inscription, il faudra également compléter le formulaire « Fiche de santé 2025» que vous retrouverez sur notre site Internet.
Des travaux ont été entrepris dans le corps de ferme en 2013. De nouvelles toilettes ont été installées… dans le poulailler ! Les poules ont donc déménagé. Elles ont transitoirement élu domicile dans l’étable… Juste le temps nécessaire aux membres du CEC de penser et de créer un nouvel espace rien que pour elles ! Joindre l’utile à l’agréable, c’est généralement ce qui motive le plus les participants aux ateliers d’aménagements monumentaux ! Au mois de juin 2013, les animateurs proposaient aux enfants les premiers temps de réflexion sur le sujet… Croquis et maquettes ont rapidement pullulé : habitat en forme de poule, en forme d’oeuf, en forme de poêle… Les idées ne manquaient pas.
Au-delà de la forme, les enfants ont évoqué différentes techniques : le bois, la terre, la brique, le béton… Certains voyaient même une structure recouverte de pelouse et enfouie dans une prairie. Au début de l’été, l’intervention de Cicio Oliveiro (référent extérieur, artiste et ami de La Prairie) a permis de canaliser les idées et les propositions.
Sur base des croquis existants, un nouveau plan a été dessiné. Il mixait différentes idées. La structure qui a trouvé place dans la prairie des chèvres et des vaches devait selon la position de son observateur tantôt rappeler la forme de l’oeuf, tantôt celle de la poule. Il a fal¬lu également penser à y permettre l’accès aux pigeons. Suite à un désir exprimé par les enfants, quelques plate-formes imaginées sur la structure permettent aux chèvres d’escalader le poulailler et de s’en servir comme terrain de jeu.
C’est la technique du voile de béton qui a été choisie pour entreprendre en grand la réalisa¬tion du poulailler. Cette technique, bien connue à La Prairie, permet une grande liberté d’expression. Elle consiste à projeter du béton sur un treillis métallique. Le treillis est facilement modulable selon les envies et les besoins de ses concepteurs. La concrétisation du projet a occupé les membres du CEC durant tout l’été. En amont aux stages, les animateurs ont coulé une dalle de béton sur laquelle le nouveau pou¬lailler a été érigé.
Une structure en fer à béton a d’abord été installée avec le concours de Roberto Oliveiro et de grands jeunes désireux d’apprendre à souder. La structure soudée a été ensuite grillagée. Un travail de longue haleine puisque 9000 attaches ont été nécessaires pour donner assez de rigidité au grillage pour accueillir le béton.
L’étape suivante était particulièrement physique puisqu’il a fallu remplir les zones grillagées de plusieurs tonnes de béton. Un travail harassant et titanesque réalisé durant de grosses chaleurs avec une dizaine d’ados très motivés. S’en sont suivies les longues séances de plafonnage. Pas moins de 30 tonnes de béton ont été utilisées durant l’été.
En marge du travail manuel proposé aux jeunes, l’équipe a animé des temps de ré¬flexion sur le devenir du poulailler. Enfants et jeunes ont eu le loisir d’imaginer et de concep¬tualiser la décoration intérieure et extérieure de la structure. Brainstormings, dessins sur papier et directement sur la structure ont été réalisés. Les idées et envies se sont bousculées. Elles ont commencé à se concrétiser à l’automne. Des fresques murales sont venues habiller l’intérieur du poulailler. En novembre 2013, les poules ont pu élire domicile dans leur nouvel habitat. Les travaux d’aménagement ont repris au printemps 2014. Il s’agissait essentiellement d’imaginer un habillage extérieur au poulailler pour l’intégrer au mieux dans son environnement.
L’aménagement de l’espace s’est poursuivi durant les beaux jours. L’équipe a pu compter sur la collaboration des enfants qui ont fréquenté la ferme durant l’été. La tâche était essentiellement orientée vers l’habillage extérieur de la sculpture. A l’accou¬tumée, l’équipe a d’abord pris en considération les avis et les envies des enfants en la matière. Elle s’est ensuite faite accompagner par l’artiste Roberto Oliveiro pour coucher sur papier le projet de réalisation. Il a fallu opérer à des choix parmi plusieurs techniques et différentes orientations artistiques. Il aura été finalement question de peinture et de mosaïque. Assez naturellement, il a été décidé de créer de nouvelles sculptures / montoirs pour les chèvres afin de mettre en évidence le poulailler. La même technique a été utilisée (voile de béton) afin d’imaginer des formes légères et aériennes.
En 2015, l’habillage extérieur a été finalisé. La porte a pris des allures de bande dessinée. On y retrouve un mix des idées d’enfants qui avaient imaginé présenter le poulailler comme une usine à oeufs… Gags en pagaille sont à découvrir sur « l’oeusine ». Le dessus du poulailler a également été retravaillé. On y voit apparaitre un ciel peint en acrylique ainsi qu’un rappel de la mosaïque sur le chapeau de la structure.
Le projet mobilier est né d’un besoin d’aménager l’espace du paddock. Cet endroit ouvert permet aux enfants d’approcher le cheval.
Des croquis ont été dessinés et la sculpture a démarré. Faire des dessins et avoir une certaine réflexion dans la démarche créative – il est intéressant durant cet étape de se poser différentes questions. Comment, pourquoi, pour combien de temps…?
Ensuite attaquer la phase de sculpture. Pour la finition des formes, rendre lisse la sculpture, utiliser du papier de verre.
L’étape suivante, préparer la colle d’os qu’il faut peindre sans oublier aucun espace sur la sculpture. Petite astuce : ajouter des pigments d’une certaine couleur pour distinguer les parties protégées des parties pas encore faites.
Puis vient l’étape de couche de gel cote, produit qui permet de faire mieux adhérer la fibre à la sculpture. Faire une finition avec un posage doux et très fin.
L’application de la fibre ; préparer les produits « durcisseur » pour l’application des bandes de fibres et l’acétone pour le nettoyage du matériel. Préparer à l’avance quelques feuillets de fibre d’une dimension de A5 environ, suivant la sculpture, la surface pourra évoluer.
Avec un petit rouleau mettre les bandes de fibres sur la sculpture, travailler de manière rapide car cela sèche assez vite. Voilà pourquoi il vaut mieux avoir préparé son matériel. On peut mettre plusieurs couches en superposition pour renforcer un endroit, garantir la longévité de la sculpture.
L’étape qui suit, la mise en couleur. Là aussi préparer vos pigments vos pots et vos pinceaux car il faut agir assez rapidement. Les mélanges de couleurs sont possibles mais il vaut mieux les préparer. L’application des couleurs se fait de la même manière que si c’était de la peinture à l’huile. Une fois la sculpture peinte, une couche de vernis spéciale (type carrosserie) est à appliquer. Une couche de durcisseur peut aussi être mise avant le vernissage de la sculpture.
Les différentes étapes sont ici résumées rapidement. Elles sont le fruit d’une longue expérimentation où des essais, des erreurs ont permis la création d’une certaine marche à suivre. Elles vous sont mises en ligne pour information.
Un premier projet sur le polyester fut la recherche de mobilier pour la plaine, le paddock et le marché. L’image de la ferme reste présente dans la créativité du CEC. Dans un second temps, plusieurs toboggans ont été construits pour les petits et les plus grands. Ils ont été disposés sur des buttes de terres qui organisent le terrain d’aventure. Ils apportent une touche de couleurs sur l’espace de jeux.
Le Montoir à cheval qui permet l’accès à l’équitation pour les personnes moins valides, était devenu en piteux état. Le bois étant pourri, il n’était plus possible d’aider les handicapés pour la monte à cheval.
Dans ces conditions, le projet montoir est devenu un projet d’intégration puisque les usagers du centre de jour L’ENVOL ( centre d’accueil pour personnes moins valides) ont collaboré activement à la réalisation du montoir.
Dans un premier temps, des croquis et des plans de réalisations ont permis de visualiser les besoins et les aménagements indispensables pour les personnes à mobilité réduite….
Attaquer la phase de sculpture dans le polystyrène et d’assemblage éventuel. Pour la finition des formes, rendre lisse la sculpture, utiliser du papier de verre.
Puis vient l’étape de couche de gel coat.
L’application de la fibre ; préparer le produit « durcisseur » pour l’application des bandes de fibres et l’acétone pour le nettoyage du matériel. Préparer à l’avance quelques feuillets de fibre d’une dimension de A5 environ suivant la sculpture, la surface pourra évoluer.
Avec un petit rouleau mettre les bandes de fibres sur la sculpture, travailler de manière rapide car cela polymérise assez vite. Voilà pourquoi il vaut mieux avoir préparer son matériel. On peut mettre plusieurs couches en superposition pour renforcer un endroit, garantir la longévité de la sculpture.
Pour chaque étape un ponçage s’impose.
Remarque : bien ventiler la pièce
ATTENTION : dosage très mesuré car mélange inflammable !
L’étape qui suit, la mise en couleur. Là aussi préparer vos pigments , vos pots et vos pinceaux car il faut agir assez rapidement.
Les mélanges de couleurs sont possibles mais il vaut mieux les préparer. Aucune limite au niveau de l’expression des couleurs, on peut peindre avec une multitude de matériaux.
Les différentes étapes sont ici résumées rapidement. Elles sont le fruit d’une longue expérimentation ou d’essais, d’erreurs qui ont permis la création d’une certaine marche à suivre.
Elles vous sont mises en ligne pour information.